Le numérique n’est pas l’absolue panacée et le papier garde une place prépondérante dans le fonctionnement de l’économie et plus largement de la société. Dès lors on peut le considérer comme un produit de première nécessité qui connaît lui aussi les foudres de l’inflation.
Prix en hausse mais sans pénurie avérée
Depuis plus de trois ans, le prix du papier augmente régulièrement, frappé par les coûts de fabrication, de transformation et de transport. Le (trop) long épisode Covid a intensifié ce phénomène d’augmentation sans pour autant – du moins pour l’instant – générer une pénurie.
Ainsi, dans le journal national quotidien Le Monde en date du 2 novembre 2021, Paul-Antoine Lacour, délégué général de la Confédération française de l’industrie des papiers, cartons et celluloses (Copacel), déclarait : « Parler de pénurie est un terme excessif, il n’y a pas eu d’arrêt d’usine. »
Le groupe Burlat s’adapte !
Il n’empêche que la situation sur le marché mondial du papier reste tendue et les imprimeurs font face à des difficultés d’approvisionnement. Là où il fallait six à huit semaines pour avoir tel type de papier, il faut compter désormais deux à trois fois plus de temps. Avec des prix à la hausse, de 3% à 22% suivant la qualité et la vocation des papiers…
Tout en restant proactif sur les marchés du papier, le groupe Burlat peut proposer des solutions alternatives en termes de nouvelles matières-papiers conseillées par les entreprises productrices spécialisées.
Chez Burlat, l’anticipation et l’adaptation sont plus que jamais à l’ordre (constant) du jour, au service rapproché de sa clientèle.
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